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Magazine AZART

22 octobre 2021

Paul Vilalta peint de simples objets ordinaires qui confèrent à ses tableaux une sensation de familier. La vraisemblance de ces espaces quotidiens montre l’importance plastique du monde qui nous entoure et la quotidienneté du fait poétique. On songe au monde de Giorgio Morandi « comme un engagement à une reflexion philosophique sur le silence, la simplicité, l’esthétique ou la distanciation à tenir face au monde ».